Soutien aux initiatives de paix au Sahel : 24 nouveaux projets pour la phase 2025-2028

Le projet Soutien aux initiatives de paix au Sahel (SIPAS-Burkina) entre dans une nouvelle dynamique. Grâce à l’appui de son partenaire,” brot für die Welt”, le projet vient de lancer à travers un atelier, une nouvelle phase pour 2025-2028. L’atelier s’est tenu ce mardi 7 octobre 2025, sous le thème “ contribuer à la promotion de la paix et à la cohésion sociale de manière durable à travers les groupes de jeunes et de femmes”. Le président du conseil d’administration, de l’Association pour la Promotion de L’ Education Non Formelle, Winston Emmanuel Goabaga a présidé l’ouverture des travaux.

La nouvelle phase du projet SIPAS-Burkina Faso, officiellement lancé pour les trois prochaines années est placée sous la coordination de l’Association pour la promotion de l’éducation non formelle. C’est un projet qui a mis en place un mécanisme de financement des initiatives pour la paix et la cohésion sociale note le PCA de l’APENF Wilson Emmanuel Goabga. Pour lui, cette nouvelle phase dédiée au Burkina Faso vise à renforcer les capacités des acteurs locaux, à soutenir les microprojets communautaires et à promouvoir la paix, la cohésion sociale et le vivre ensemble dans un contexte national éprouvé par l’insécurité et la crise humanitaire. En tant que chef de fil, l’Association pour la promotion de l’éducation non formelle, note Wilson Emmanuel Goabga s’engage à assurer une coordination efficace et participative en étroite collaboration avec les organisations partenaires, les autorités locales et le partenaire technique et financier,” brot für die Welt”. Le lancement de cette phase du projet marque le début de l’engagement collectif, celui de faire de la paix, une réalité durable bâtie par les communautés elles-mêmes, travaillant ensemble avec détermination et espoir pour un Burkina apaisé, résilient et uni, souligne le PCA de l’APENF. Pour le Secrétaire Exécutif de l’APENF Abdoulaye Yonaba, pour la période 2025-2028, Il s’agira de façon concrète, d’aller auprès des associations, au sein des villages, qui travaillent auprès des communautés pour leur permettre de développer de microprojets, de promotion de la paix, et de la cohésion sociale ou des microprojets génératrices de revenus pour leur épanouissement économique. L’un dans l’autre ce sont des activités qui contribuent à la promotion de la paix et de la cohésion sociale au sein des populations. C’est à travers ces associations que nous nommons promoteurs SIPAS qu’on va financer directement pour la mise en eouvre des activités sur le terrain. Pour la phase précédente du projet, on peut retenir comme acquis le nombre de projet réalisés à savoir 28 microprojets auprès des populations, avec des résultats tangibles. Selon Selon le SE de l’APENF Abdoulaye Yonaba “On a pu renforcer les capacités des acteurs sur le terrain. Et la stratégie qu’on a déployée c’est la formation à la chaîne de façon en cascade. Ainsi nous formons des relais auprès des populations qui part au niveau de la population pour des séances de sensibilisation et de formation à travers les théâtres forum, des sketchs pour sensibiliser la population pour le changement de mentalité pour la promotion de la paix et la cohésion sociale”.

De 28 microprojets lors la phase 2022-2025 e 24 microprojets pour la phase 2025-2028
La diminution des projets selon le secrétaire exécutif de l’APENF Abdoulaye Yonaba, s’explique par le fait de rationnaliser les projets. Par rapport à la précédente phase, il y a eu des insuffisances dans la coordination liée à certaines lignes. “ On a préféré ramener à 24 projets pour faciliter la coordination du projet qui se fait à travers l’APENF et trois autres structures de mise en œuvre. C’est ce qui justifie la réduction du nombre de projet.

SIPAS Burkina Faso c’est un projet initié en partenariat avec,” brot für die Welt”, qui veut dire, pain pour le monde, pour accompagner la promotion de la paix, de la cohésion sociale au niveau du Burkina Faso à travers l’appui à la mise en œuvre de microprojets dans trois thématiques à savoir les ressources extractives, l’éducation à la paix, et la communication pour la paix.
Palingwendé Magloire Stanislas Tiendrébeogo
Le projet Soutien aux initiatives de paix au Sahel (SIPAS-Burkina) entre dans une nouvelle dynamique. Grâce à l’appui de son partenaire,” brot für die Welt”, le projet vient de lancer à travers un atelier, une nouvelle phase pour 2025-2028. L’atelier s’est tenu ce mardi 7 octobre 2025, sous le thème “ contribuer à la promotion de la paix et à la cohésion sociale de manière durable à travers les groupes de jeunes et de femmes”. Le président du conseil d’administration, de l’Association des promoteurs de l’Éducation non formelle, Wilson Emmanuel Goabga a présidé l’ouverture des travaux.
La nouvelle phase du projet SIPAS-Burkina Faso, officiellement lancé pour les trois prochaines années est placée sous la coordination de l’Association pour la promotion de l’éducation non formelle. C’est un projet qui a mis en place un mécanisme de financement des initiatives pour la paix et la cohésion sociale note le PCA de l’APENF Wilson Emmanuel Goabga. Pour lui, cette nouvelle phase dédiée au Burkina Faso vise à renforcer les capacités des acteurs locaux, à soutenir les microprojets communautaires et à promouvoir la paix, la cohésion sociale et le vivre ensemble dans un contexte national éprouvé par l’insécurité et la crise humanitaire. En tant que chef de fil, l’Association pour la promotion de l’éducation non formelle, note Wilson Emmanuel Goabga s’engage à assurer une coordination efficace et participative en étroite collaboration avec les organisations partenaires, les autorités locales et le partenaire technique et financier,” brot für die Welt”. Le lancement de cette phase du projet marque le début de l’engagement collectif, celui de faire de la paix, une réalité durable bâtie par les communautés elles-mêmes, travaillant ensemble avec détermination et espoir pour un Burkina apaisé, résilient et uni, souligne le PCA de l’APENF. Pour le s Faso ecrétaire exécutif de l’APENF Abdoulaye Yonaba, pour la période 2025-2028, Il s’agira de façon concrète, d’aller auprès des associations, au sein des villages, qui travaillent auprès des communautés pour leur permettre de développer de microprojets, de promotion de la paix, et de la cohésion sociale ou des microprojets génératrices de revenus pour leur épanouissement économique. L’un dans l’autre ce sont des activités qui contribuent à la promotion de la paix et de la cohésion sociale au sein des populations. C’est à travers ces associations que nous nommons promoteurs SIPAS qu’on va financer directement pour la mise en eouvre des activités sur le terrain. Pour la phase précédente du projet, on peut retenir comme acquis le nombre de projet réalisés à savoir 28 microprojets auprès des populations, avec des résultats tangibles. Selon SE de l’APENEF Abdoulaye Yonaba “On a pu renforcer les capacités des acteurs sur le terrain. Et la stratégie qu’on a déployée c’est la formation à la chaîne de façon en cascade. Ainsi nous formons des relais auprès des populations qui part au niveau de la population pour des séances de sensibilisation et de formation à travers les théâtres forum, des sketchs pour sensibiliser la population pour le changement de mentalité pour la promotion de la paix et la cohésion sociale”.
De 28 microprojets lors la phase 2022-2025 e 24 microprojets pour la phase 2025-2028
La diminution des projets selon le secrétaire exécutif de l’APENF Abdoulaye Yonaba, s’explique par le fait de rationnaliser les projets. Par rapport à la précédente phase, il y a eu des insuffisances dans la coordination liée à certaines lignes. “ On a préféré ramener à 24 projets pour faciliter la coordination du projet qui se fait à travers l’APENF et trois autres structures de mise en œuvre. C’est ce qui justifie la réduction du nombre de projet. SIPAS Burkina Faso c’est un projet initié en partenariat avec,” brot für die Welt”, qui veut dire, pain pour le monde, pour accompagner la promotion de la paix, de la cohésion sociale au niveau du Burkina Faso à travers l’appui à la mise en œuvre de microprojets dans trois thématiques à savoir les ressources extractives, l’éducation à la paix, et la communication pour la paix.
Palingwendé Magloire Stanislas Tiendrébeogo
